samedi 28 février 2015

JE VAIS POSSEDER DANS MA FOI CE QUE J’ATTENDS AVANT DE L’AVOIR VU

« C’est pourquoi, voici, je veux l’attirer et le conduire au désert, et je parlerai à son cœur. Là, je lui donnerai ses vignes et la vallée d’Acor, comme une porte d’espérance. » Osée 2 :16-17

Dieu attire son peuple dans le désert pour lui montrer ses miracles.
C’est dans ce désert, où il n’y a rien, que notre foi doit être braquée sur l’invisible afin de recevoir le miracle. Les miracles ne se font qu’au désert. C’est au désert que l’eau jaillit du rocher et que la manne descend. Il faut le désert pour créer ce miracle. Le miracle part toujours d’un besoin. Dans le pays d’Egypte, Dieu avait, dix fois, fait la différence entre Israël et l’Egypte. Dix fois les plaies étaient passées par-dessus Israël sans le toucher. Dieu entendait par là, non seulement préparer son peuple pour le libérer, mais aussi que se forme en lui une foi qui ferait la différence entre les peuples qui servent les idoles, et celui qui sert le Dieu vivant. Il va plaire à Dieu d’éprouver la foi d’Israël devant la Mer Rouge. Dieu bloque Israël par devant et par derrière. Impossible de s’en sortir humainement, ni d’une façon ni d’une autre….
C’est lorsque nous sommes ‘coincés’ que Dieu connaît seulement si oui ou non nous sommes confiants. Moïse l’était. Pour lui, aucun problème. Mais pour Israël c’est la panique. Moïse a une foi trempée ; Israël est conditionné par la vue. Il voit en effet la mer devant lui, et les Egyptiens armés et nombreux derrière. Il voit physiquement ; il est aveuglé spirituellement. Moïse au contraire semble ne rien voir physiquement.  Mais il voit l’invisible. Il connaît Dieu. Il sait que Dieu ne les a pas fait sortir magistralement pour les faire mourir horriblement. Il connaît Dieu. Il se sait aimé de lui. Il marche au niveau de l’invisible.
Une des épreuves par excellence que Dieu veut nous faire traverser est celle de la foi.
Lorsque celle-ci est arrivée à sa dimension normale (Hébreux 11 :1) : La ferme assurance, on peut dire comme Moïse : Regardez la grande délivrance que vous accorde aujourd’hui l’Eternel.

vendredi 27 février 2015

LA PRIERE QUE JE FAIS EST COMME UNE GRAINE QUE JE PLANTE ( suite )

Quelques fois l’exaucement met plus de temps à venir. Ma foi est alors davantage éprouvée, et je n’ai d’autre repère que celui des promesses de Dieu dans Sa parole. Je continue à confesser, et je mets en place toutes les positions dans l’axe de cet accomplissement.
La prière que nous avions faite avec Sergine était exaucée. J’ajouterai qu’elle déclencha la délivrance, non seulement de cette facture imminente, mais encore de toutes celles qui étaient sur mon bureau.
Nos pensées négatives sont la preuve de la défaite, par contre si je continue à penser positivement et à agir dans ce sens, Dieu est honoré et il m’honore aussi par l’exaucement. Je suis lié à mes paroles et à mes pensées. Ce sont elles qui, en définitive, définissent si oui ou non j’ai confiance.
Dieu m’appelle à être comme voyant l’invisible et à ne pas être de ceux qui marchent par la vue.
La foi en action déroule un chemin sous mes pas. Jésus est le chemin et Ses paroles sont ce chemin.
Il existe des abîmes dans ma vie, mais, par la Parole de Jésus, je jette le pont de ma foi et je passe.
J’ai des matériaux dans la Parole pour ce pont, mais c’est ma foi qui doit le construire.

Pensez à cette sorte de puissance quand vous dîtes : LA PRIERE QUE JE FAIS EST UNE GRAINE QUE JE PLANTE.


                                                                                      André SNANOUDJ

jeudi 26 février 2015

LA PRIERE QUE JE FAIS EST COMME UNE GRAINE QUE JE PLANTE

« Si quelqu’un dit à cette montagne : ôte-toi de là et ne doute pas en son coeur que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir. » Marc 11 :22

Nous étions à Albi, en butte à des besoins matériels pressants. Les factures s’empilaient sur mon bureau et pas d’argent pour payer les dépenses de la colonie de vacances. Les constructions avaient absorbé toutes les pensions reçues, et il fallait à présent régler les factures alimentaires. Pas moyen de reporter. Nous étions au pied du mur !
Alors, avec Sergine, nous nous sommes mis à genoux au pied de notre lit, la Bible ouverte sur ce verset de la lettre aux Philippiens : « …et mon Dieu pourvoira à tous vos besoins, selon sa richesse avec gloire en Jésus-Christ » 19 :4.
Nous avons eu cette parole pour débloquer la situation. C’était nos premières expériences de foi. Nous avons planté en terre cette parole et remercié Dieu de son accomplissement. Quelques heures se sont écoulées, nous avons oublié nos soucis. Quelqu’un tambourine à la porte d’entrée (il y avait une panne d’électricité) ! C’était une chrétienne de la communauté d’Albi qui était sur le seuil avec une mission à remplir de la part du Seigneur : « Je ne viens pas » dit-elle, « en visite de politesse, mais j’ai sur le cœur de vous offrir mes services pour vous aider matériellement, car j’ai été pressée par le Seigneur qui m’a convaincue que vous aviez besoin d’un secours d’argent ».
Dieu avait pourvu !

                                                                                        André SNANOUDJ

mercredi 25 février 2015

PRENONS GARDE, FRERES. (suite)

« Comment échapperons-nous en négligeant un si grand salut ?


…Toutes les règles de notre vie sont changées. Nos objectifs sont différents. LES ECRITURES deviennent notre lecture favorite, la prière notre nouvelle ‘respiration’. LE TEMOIGNAGE aux perdus notre conquête quotidienne et notre récompense. Qui n’a pas jubilé intérieurement après avoir confessé avec à propos le beau Nom de Jésus ? Qui n’a pas été ému et parfois bouleversé aux larmes devant une âme qui naît à la vie d’En-Haut ? C’est la qualité de ce si GRAND SALUT qui produit de tels sentiments.
J’ai le pénible sentiment que trop de chrétiens d’aujourd’hui n’ont entrevu qu’un petit salut. Où sont les larmes, les repentances, les restitutions, les réparations ? J’ai la conviction que le dernier réveil mettra en avant CE SI GRAND SALUT.
Devant la prédication brûlante de la Croix de Jésus, là où le jugement du péché de l’homme a été levé en tombant sur LUI….les gens tombent sur leur face et restent prostrés devant LA MAJESTE DE DIEU, brisés par Son amour et changés d’un coup et pour toujours. Alors, sur cette base saine et solide, la vie chrétienne se construit et le  SALUT N’EST PLUS NEGLIGE.


                                                                                     André SNANOUDJ


mardi 24 février 2015

PRENONS GARDE, FRERES.

« Comment échapperons-nous en négligeant un si grand salut ?

Hébreux 2 :3

En parcourant, même rapidement, l’Epître aux Hébreux, nous sommes frappés par le nombre de mises en garde telles que : « Prenons garde, frères… »
En lisant les Evangiles nous sommes avertis des temps difficiles (et nous y sommes !) qui viendront sur l’humanité, caractérisés par l’absence de la foi et de la charité. Je suis persuadé que Dieu veut mettre en évidence, dans ces temps de la fin, « CE SI GRAND SALUT ! », aussi bien pour les hommes de cette génération aveugle et pécheresse que pour l’Eglise composée de croyants qui ne réalisent pas ou plus « CE SI GRAND SALUT ».
L’habitude, cette seconde nature, prend le pas si facilement sur les réalités spirituelles. On s’habitue à tout, même à prononcer des mots tels que LE CIEL ou  L’ENFER ! Et pourtant, dans notre vécu, il nous en faut beaucoup moins pour rire ou pleurer. Le ciel c’est l’extase, le bonheur suprême, la Vie Eternelle, le repos parfait, la découverte de l’inouï. L’enfer c’est l’affreuse solitude, la douleur terrible, le remords sans fin, le vide absolu, le désespoir éternel.
Entre ces deux états, un choix que l’on fait ou refuse : LA CROIX…LE SALUT…CE SI GRAND SALUT ! C’est le lieu où la purification du péché est faite. Où l’on se repent en abandonnant sa mauvaise façon de vivre. Où l’on naît à la vie nouvelle en DEVENANT UNE NOUVELLE CREATURE…


                                                                               André SNANOUDJ

lundi 23 février 2015

LA MORT A LA CARTE ?

« Elle a du prix aux yeux de l’Eternel la mort de ses fidèles »

Psaume 116 :15

L’explorateur Paul Emile Victor disait à Jacques Chancel, dans une émission radio, au sujet de la mort, qu’elle se présentait sous trois formes :
- la mort subie, maladie ou accident
- la mort provoquée par un tiers, meurtre ou guerre
- la mort fuite, suicide.
La Bible parle de la mort sous d’autres rapports. Ce moment difficile à traverser, appelé par David « La vallée de l’ombre de la mort », n’est pas franchi en solitaire par le chrétien. Dieu est là ! « Je ne crains aucun mal car tu es avec moi ».
Paul affirme que tout est à nous y compris la mort (1 Corinthiens 3 :22).
La vie de ma belle-mère tirait à sa fin. Elle avait dépassé les 85 ans. Bien que diminuée elle tenait très fort à la vie, et nous regardions avec tristesse son état se détériorer. Une nuit j’élevai mon âme au Seigneur en sa faveur :
-          Seigneur, suppliai-je, je te prie de bénir Mémé. Je te demande que son départ soit accompli de la façon suivante, qu’elle ne souffre pas, ne connaisse pas d’agonie et qu’elle quitte ce monde en dormant.
Je réalisai que l’Esprit de Dieu avait inspiré et motivé cette prière.
Le lendemain je dis à ma belle-mère : Mémé, j’ai prié pour vous, j’ai demandé cela au Seigneur….Elle ouvrit de grands yeux, surprise. Quelques mois plus tard, elle partit glorieusement pour le Ciel comme je l’avais demandé, dans un léger sommeil matinal, de suite après avoir bu sa tasse de thé, sans agonie, sans souffrance.

                                                                                        André SNANOUDJ

dimanche 22 février 2015

LE SEIGNEUR EST LA PAR LE SAINT-ESPRIT

« Théophile, j’ai parlé dans mon premier livre de tout ce que Jésus a commencé de faire et d’enseigner dès le commencement jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel, après avoir donné ses ordres par le Saint-Esprit aux apôtres qu’il avait choisis. Après qu’il eut souffert, il leur apparut vivant et leur donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant de choses qui concernent le Royaume de Dieu. Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il : car Jean a baptisé d’eau, mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint-Esprit. » Actes 1 :1-5


« Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre… » 
Versets 8-9


Il est impératif que nous recevions cette onction. Le Seigneur l’a jugée utile pour ses disciples qui ont vécu avec lui. L’onction du Saint-Esprit, c’est l’Esprit du Père et du Fils sur nous. C’est une pénétration de puissance que j’appellerai : la révélation de l’amour de Dieu dans sa miséricorde pour le pardon, mais aussi de justice et de jugement. Enfin, c’est la force toute puissante des charismes : délivrances, guérisons, prophéties…Lisez et relisez attentivement la conduite de l’Esprit Saint sur les apôtres dans les quatre évangiles, dans les Actes. Soulignez d’une couleur spéciale toutes les manifestations de l’Esprit Saint sur eux et par eux. Vous serez tellement enrichi que sans vous en apercevoir cette onction commencera à descendre sur vous. Insensiblement votre vie de disciple deviendra puissante par la puissance du Saint-Esprit qui vous communiquera ses dons. Laissez-vous pénétrer par CETTE ONCTION. 

samedi 21 février 2015

DIEU EST UN PERE ET UNE MERE

« Eternel, je n’ai ni un cœur qui s’enfle, ni des regards hautains : Je ne m’occupe pas de choses trop grandes et trop élevées pour moi. Loin de là, j’ai l’âme calme et tranquille, Comme un enfant sevré qui est auprès de sa mère : J’ai l’âme comme un enfant sevré. Israël mets ton espoir en l’Eternel, Dès maintenant et à jamais. » Psaume 131

David avait bien compris le processus de la croissance d’un enfant qui finit par être sevré auprès de sa mère. Il avait imposé à son âme le calme et le silence. Il se gardait d’avoir un cœur arrogant et des regards hautains. Il refusait de s’engager dans des questions où il ne trouverait pas de réponses, des questions qui ouvriraient la porte à l’incrédulité. Il avait compris que pour vivre en enfant de Dieu il fallait éliminer tout élément perturbateur. Laissez venir à moi les petits enfants, disait Jésus, car le Royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent.

vendredi 20 février 2015

DELIVRANCE DE JERICHO. JOSUE 5

« C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent. »

Hébreux 11 :30

A l’époque de la guerre des six jours, le rabbin et colonel Schlomo Goren partit vers le Mont Sinaï avec deux hélicoptères militaires et une poignée d’hommes. Un vent violent les contraignit à atterrir à mi-hauteur de la montagne : le rabbin, alors âgé de 50 ans, poursuivit son ascension tout en soufflant dans un shofar et en criant : « Nous conquerrons ce lieu sacré ».
La victoire se gagne par la foi au Nom de Jésus. Le shofar est une corne de bélier utilisée pour annoncer les grandes fêtes en Israël. Sonnons aussi le shofar de la foi face à nos problèmes. L’ennemi lâchera ses positions. L’ennemi possède les lieux où il exerce la magie, l’ivrognerie, adultères, guerres. Proclamons ces lieux pour Jésus, et rapidement nous le verrons les quitter. En 1981, nous sommes allés visiter, sur la place principale de Zurich, un millier de drogués. Nous avons parlé de Jésus, mais nous avons aussi libéré les lieux des démons de la drogue qui l’occupaient. Ces jeunes étaient agressifs, mettaient la ville sans dessus dessous. Nous n’étions qu’une poignée pour proclamer libres ces lieux. Une semaine après, nous étions exaucés : de la pelouse, des fleurs recouvraient la place. De surcroît nous sommes allés prier dans la rue des prostituées et là, un mois après sortait une loi. Plus jamais de maisons closes ne s’ouvrirent à Zurich.
Sonnons du shofar face à l’ennemi. Ne le minimisons pas mais ordonnons-lui de quitter les lieux de souffrance qu’il occupe chez nous. Le Seigneur les changera en lieux de joie.

jeudi 19 février 2015

VIVRE DANS LA DISPENSATION DU SAINT-ESPRIT

« Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l’amour de Dieu et la communion du Saint-Esprit soient avec vous tous. » 2 Corinthiens 13 :13

La grâce de Jésus-Christ est à confesser jour après jour.
L’amour de Dieu en nous se développera par la confiance.
La communion du Saint-Esprit se cultive à l’écoute de Sa voix, et par notre obéissance.
« Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas votre cœur » Hébreux 4 :7
Ces actions du Père, du Fils et du Saint-Esprit nous permettent de vivre dans un repos de sabbat continuel.
Demeurons dans la grâce du Seigneur Jésus, vivons dans l’amour de Dieu, et travaillons avec le Saint-Esprit. C’est Lui qui met son sceau sur les œuvres que Dieu a préparées pour nous. C’est le Saint-Esprit qui nous donne succès et satisfaction. C’est lui qui glorifie le Père et le Fils et nous rassemble en la personne de Dieu. C’est encore Lui qui fait vivre la Parole, qui anime la prière et donne de la force à notre témoignage. C’est Lui qui enlèvera l’Eglise à la rencontre de Christ dans les airs . Quelle victoire !
Ne résistons pas au Saint-Esprit et, pour cela, recherchons la communion avec Lui avec un cœur bien disposé et un esprit confiant.

                                                                                                               André SNANOUDJ

mercredi 18 février 2015

SOYEZ PRUDENTS

« L’homme prudent voit le mal et se cache, mais les simples passent outre et sont punis. » Proverbes 22

Dans ce texte, il est question de deux types d’individus : les prudents et les simples ou fous, les voyants et les aveugles. Ceux qui sont sous la grâce et l’onction de Dieu reçoivent le discernement du danger. Si celui-ci est caché, Dieu le révèlera d’une façon surnaturelle. L’homme prudent réfléchit. La réflexion chez l’homme permet à Dieu de lui parler. C’est pourquoi réfléchissons, prévoyons si nos actions sont conduites par Dieu. Ainsi nous pourrons au jour de la tentation nous en éloigner.
Les simples ou les fous sont punis. Beaucoup de malédictions sont la cause de notre propre égarement. Veillons donc sur nos voies. Aspirons à ce qui est simple, juste et droit. Nous serons dans la paix et la bénédiction de Dieu. Nous remarquons que la plupart des malheurs sont souvent consécutifs à une vie désordonnée. Recherchons la prudence, la clairvoyance.

mardi 17 février 2015

SOYONS RECONNAISSANTS

« Nos pères en Egypte ne furent pas attentifs à tes miracles, ils ne se rappelèrent pas la multitude de tes grâces. » Psaume 106 :7

Il y a certainement dans cette constatation  quelque chose qui nous concerne aussi.
Le peuple d’Israël s’était contenté de recevoir de nombreux miracles sans en approfondir les raisons.
Ces miracles signifiaient :
1-      Que Dieu avait choisi ce peuple
2-      Qu’il le prenait en charge matériellement et physiquement
3-      Qu’il en devenait le Père spirituel.
A quoi l’enfant reconnaît-il ses parents, sinon par les soins attentifs et quotidiens qu’il reçoit d’eux ?
La vie de chaque jour tisse la relation enfants/parents. Relation de confiance, relation de communion.
C’était pendant la guerre. Mes parents m’avaient placé en pension pour ma sécurité, en raison des soldats Allemands qui occupaient la France. Un jour de marché, ma mère vint me voir pour me faire sortir un peu. Quelle joie ! Un instant après je déambulais à ses côtés, un gros paquet de cerises à la main. Quelle fête ! Mais après quelques minutes que je passais le nez baissé sur mes cerises, j’entendis ma mère me dire :
-          Et moi ? Tu ne m’en offres pas ?
Gardons-nous comme Israël d’oublier le DONNATEUR, n’ayant d’yeux que pour ses dons !

                                                                                                                      André SNANOUDJ

lundi 16 février 2015

ENTRONS DANS LE REPOS DE DIEU

« Il y a donc un repos de sabbat réservé au peuple de Dieu »

Hébreux 4 :9

On raconte qu’à une époque reculée où la voiture n’existait pas, un voyageur débarqua du train portant ses deux valises.
Il monta sur la charrette qui devait le conduire au prochain village et resta debout portant toujours une valise à chaque main. Le cocher lui dit :
-          Vous pouvez déposer maintenant vos bagages.
Mais le voyageur répondit :
-          Non, non, je ne veux pas laisser au cheval l’effort de porter toute cette charge !
Celui qui n’entre pas dans le repos tire une charge inutile et ne profite pas de ce que Christ lui a acquis. Il est dehors, là où règnent l’inquiétude, l’instabilité, le déséquilibre et tous les malheurs. C’est pour cela qu’il y a parmi les chrétiens beaucoup d’agitation, de découragement, des hauts et des bas, des regrets et des défaites.
Louons Dieu pour son œuvre parfaite. Vivons à l’intérieur du Royaume de Dieu « en entrant chaque jour dans ses portes avec des louanges, dans ses parvis avec des cantiques » Psaume 100.
La foi dans le tout accompli prononcé par Jésus à la Croix nous permet d’entrer dans ce repos de sabbat. Ce qui ne veut pas dire que nous n’avons rien à faire, au contraire ! Tout ce que nous ferons sera fait dans la foi, dans l’amour, dans l’assurance de plaire à Dieu.
Seigneur, j’entre aujourd’hui dans ton repos. Je dépose à tes pieds toutes les charges inutiles que je porte. Je suis libéré. Alléluia !

                                                                                                               André SNANOUDJ

dimanche 15 février 2015

NOUS AVONS ICI UN DES VERSETS LES PLUS PUISSANTS DE LA PAROLE !



« Si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, Celui qui a ressuscité le Christ d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.

Quelle puissance dans ces paroles ! Elles expriment le plan merveilleux de la venue de notre Seigneur mort et ressuscité, habitant en tous ceux qui Le laissent entrer. L’Esprit de résurrection vivifie miraculeusement nos corps mortels.
Quelle grâce, nous pouvons jouir d’inexplicables forces de vie, de joie, de guérison.
Avant sa conversion, ma mère passait tous les hivers avec rhumes et sinusites. Ne parlons pas des crises de foie qui la paralysaient ! Elle était  très fragile.
Dès que Christ vint habiter en elle, elle devint une femme pleine de force et de vie, de la vie de Christ.

samedi 14 février 2015

Le cri de l’âme, LE CRI REEL EST PAR EXCELLENCE la prière que Dieu entend :

« Car il a brisé les portes d’airain, Il a rompu les verrous de fer. Les insensés, par leur conduite coupable et par leurs iniquités, s’étaient rendus malheureux. Leur âme avait en horreur toute nourriture, Et ils touchaient aux portes de la mort. Dans leur détresse, ils crièrent à l’Eternel, Et il les délivra de leurs angoisses. » Psaume 107 : 16-19

« Invoque-moi, et je te répondrai ». Mes amis, quand nous sommes à ce stade, sachez que c’est là que nous sommes le plus près de Dieu, même si nous en paraissons le plus loin. Dieu a brisé les portes d’airain de Ceaucescu en Roumanie, du Kremlin en Russie. Qui l’aurait cru ? Il a entendu les cris de ses enfants, des malheureux. Le cri est une forme de délivrance. Le tout est de vouloir CRIER. Crier, c’est arriver à maturité.

vendredi 13 février 2015

SAISISSEZ CETTE SOUFFRANCE ET FAITES-EN UNE PERLE !

« Jusqu’à ce que Christ soit formé en vous. »

 Galates 4 :19

Les perles se forment d’une étrange façon.
Il arrive parfois à l’huître, lorsqu’elle s’ouvre pour prendre sa nourriture, qu’un grain de sable s’introduise à l’intérieur de la coquille et s’incruste dans sa chair, ce qui provoque une grande douleur. Mais cette irritante douleur va produire en elle, petit à petit, une superbe substance qu’on appelle nacre. Au lieu d’essayer de rejeter ce grain de sable, afin d’éloigner la douleur, elle va le recouvrir d’une sécrétion de plusieurs couches de nacre jusqu’à ce que la perle soit formée. Ce petit grain de sable sans aucune valeur est devenu une magnifique perle de prix.
Qu’est-ce qui vous a irrité récemment ? Parlons de ce qui vous a heurté. Rappelez-vous que vous avez demandé à Dieu de vous le retirer, mais c’est toujours là…Dieu vous a donné la possibilité de le garder et de le recouvrir d’une couche de grâce, d’une couche de patience, d’une couche de grande souffrance. Il faudra des années pour qu’un grain de sable devienne une perle, et le travail qui doit s’accomplir ne se fait pas en une nuit. Paul a promis aux Galates qu’il prierait pour eux jusqu’à ce que CHRIST SOIT FORME EN EUX. Le plan de Dieu pour nous est clair : que le monde voit en nous le caractère et l’amour de Jésus. Quel grand appel ! Maintenant, lisez ceci encore et cherchez sa face JUSQU’A CE QUE CHRIST SOIT FORME EN VOUS.

jeudi 12 février 2015

DANS UN HOMME, C’EST L’ESPRIT : Combien ces paroles sont vraies !

« Mais en réalité, dans un  homme, c’est L’ESPRIT, le souffle du Tout-Puissant qui donne la sagesse,

Et ce ne sont pas les vieillards qui comprennent le droit. » Job 32 :8-9

L’homme le plus expert dans le droit, les finances, les connaissances humaines, est un petit garçon dans le royaume de Dieu. Par contre, un homme sans instruction, sans diplômes, peut être grand s’il est rempli de l’Esprit et s’il s’entretient avec Dieu. L’Esprit Saint l’anime, le fait grandir, lui donne des places d’honneur parmi les grands. Joseph fut l’un d’eux. L’Esprit Saint l’animait, le discernement l’animait. Il interpréta les songes de Pharaon. Il fut investi d’honneur, de responsabilités. Dans un homme, c’est l’Esprit….
J’ai connu des créatures qui ont commencé par l’Esprit de Dieu, ils ont fini par la chair. Ils n’ont pas compris que l’Esprit de Dieu se retire si nous nous affectionnons aux plaisirs de ce monde ; très doucement nous glissons mais finissons par devenir comme lui, grossier, menteur, lâche, fraudeur, voleur. Puis le salaire du péché : C’EST LA MORT. Combien ont  très bien commencé, puis ils n’ont eu AUCUN RESPECT DE LEURS PAROLES. Il arrive un moment où cet homme, cette femme, ne se situent plus. La vie spirituelle est un entretien quotidien. Smith Wiggleworth  ne lisait qu’un livre : LA BIBLE. Plusieurs fois par jour il sortait de la poche intérieure de son costume le petit Nouveau Testament dont il ne se séparait jamais. Cet apôtre de la foi, à 85 ans, alors qu’il venait de faire une réunion et s’entretenait avec un vieil ami, partit dans l’Eternité entre une question et une réponse. Sa vie fut remplie jusqu’au bout. Il porta du fruit dans sa vieillesse. Il gagna de nombreuses âmes en Amérique, en Australie. Partout. Son secret était la Parole, la Parole, la Parole. IL avait SOIF DE DIEU. Ce qui fait l’homme de Dieu, C’EST L’ESPRIT, sinon il n’est que chair.

mercredi 11 février 2015

« NOUS AVONS ETE CHOISIS POUR FAIRE DES CHOSES PLUS EXTRAORDINAIRES QUE NOUS NE LE PENSONS. DIEU SE SERT DE NOTRE BONNE VOLONTE, DE NOTRE AUDACE SUR LESQUELLES IL PLACE SON ONCTION POUR FAIRE LES ŒUVRES QU’IL A PRÉPARÉES D’AVANCE POUR NOUS.

« Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais moi je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. » Jean 15 :16

Dans le naturel, regardant en arrière, je glorifie Dieu d’avoir pu faire des choses que je n’aurais jamais pu faire avec tous les diplômes du monde. Sous son Onction j’ai écrit des livres qui ont circulé ces vingt dernières années par le monde et qui ont changé des vies, des groupes d’églises. J’apporte cette réalité en toute simplicité car aujourd’hui même Dieu peut aussi se passer de moi si j’en tire quelque gloire. Serait-ce possible ? Nous avons été choisis non seulement pour accomplir une mission possible, mais aussi impossible. Dieu m’a dépassée dans mes capacités. Et je n’ai pas fini de l’être ! LE MEILLEUR EST DEVANT MOI, et devant vous si seulement vous prenez conscience QU’IL VOUS A CHOISIS. Des êtres choisis, comme vous et moi, n’ont rien à craindre. Nous sommes escortés PARTOUT, en voiture, en avion, en train, à pied, à cheval, là où il y a la guerre…il est là avec son gouvernement céleste. Quand nous sommes parties au Tchad avec Hélène, pour une mission de dix jours, nous savions que ce pays est sans cesse en révolution. Nous arrivâmes en pleine nuit, 3 h du matin. Nous ne connaissions que le Pasteur qui avait organisé la campagne. Mais vous savez quoi ? A la descente de l’avion, nous étions attendues par une femme qui cherchait à me rencontrer depuis cinq ans. Elle travaillait à l’aéroport, elle avait la mission de nous réceptionner. Une commission nous attendait plus loin. Nous sommes passées à travers les obligations habituelles. Tout était prévu par le gouvernement d’En-Haut.
Vous, nous, sommes choisis et pris en charge.


mardi 10 février 2015

COMMENT NOUS COMPORTER DANS LES PERIODES D’ATTENTE

« J’attends patiemment le secours de Dieu : Il m’écoute et entend mes cris. »

Psaume 40 :1

Les moments les plus difficiles se situent entre la demande et la réponse de Dieu. Dans ce laps de temps, évitez de vous impatienter, de prononcer des paroles négatives que Satan utilisera pour vous faire un chemin bien à lui. Dans cette période d’attente difficile ne vous polarisez pas sur ce que vous vivez mais sur ce que vous vivrez quand Dieu vous aura exaucé. David disait : « Il m’a retiré de la fosse du désespoir, il a affermi mes pas » Verset 2
LE DIEU DE DAVID EST VOTRE DIEU. Ne lâchez pas prise ! Passez une bonne journée. Par exemple, mettez en ordre vos papiers, votre maison. Faites une bonne journée de travail. Arrangez-vous du mieux possible. Paraissez en forme et joyeux. Aimez vos enfants. Allez à l’église. Mangez correctement. Prenez du repos. N’OUBLIEZ JAMAIS QUE DIEU VOUS SORT DE CETTE IMAPSSE. Dans cette période difficile peut-être vous dites-vous : Qui pourrait m’aider ? N’oubliez pas que dans ces moments difficiles le diable utilise souvent quelqu’un parmi vos proches. Rappelez-vous de la femme de Job ! Cherchez des personnes qui vous aideront à vous en sortir et non à vous démolir. Sachez que Dieu possède ses armées célestes pour combattre pour vous.

lundi 9 février 2015

AYONS PLEINEMENT CONSCIENCE D’ETRE AU SERVICE DE DIEU

« On raconte comment vous vous êtes convertis à Dieu en abandonnant les idoles pour servir le Dieu vivant et vrai… » 1 Thessaloniciens 1 :9

Nous sommes dans ce service si nous nous sommes convertis à Dieu et avons abandonné ce qui représente nos idoles. Les chrétiens de Thessalonique avaient tranché nettement en abandonnant sans équivoque leur ancienne manière de vivre, et en devenant serviteurs du Dieu vivant.
Ce fait était partout raconté dans les églises, de bouche à oreille :
-          Savez-vous qu’à Thessalonique beaucoup se tournent vers le Seigneur et le servent ?
L’évangélisation doit produire ce fruit.  Paul témoigne que le Seigneur lui est apparu et lui a donné ce message : « Je t’ai pris du milieu de ce peuple et des païens vers qui je t’envoie pour leur ouvrir les yeux, afin qu’ils se tournent des ténèbres vers la lumière et du pouvoir de Satan vers Dieu » Actes 26 :17
Sur la route des vacances, sur les lieux de repos et de loisirs, combien de personnes attendent pour y voir enfin clair… ? Dieu les connaît, entrons dans son plan de salut.


                                                                                                               André SNANOUDJ

dimanche 8 février 2015

AUJOURD’HUI, REGARDEZ LES CHOSES DIFFEREMMENT

« Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur » Philippiens 4 :4

Paul était en prison lorsqu’il écrivit : Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur. Il souffrait de la faim. Son corps était épuisé. La sentence de mort planait au-dessus de sa tête. Il ne considérait pas ses sentiments. Il regardait au-delà des circonstances : JESUS, SON APPUI, SA SOURCE. Les verrous de la prison ne purent le séparer de son Maître. Il était en communion avec lui. Il pouvait dire : « Car les choses que nous voyons sont temporaires ». Elles passeront, ne vous y accrochez pas. « Mais les choses que nous ne voyons pas sont éternelles ». Vous ne pouvez pas les perdre. C’est dommage pour ces chrétiens si attachés aux choses de cette terre car ils manquent L’APPEL DES CHOSES ETERNELLES. Paul y était entré : « Car ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, qui ne sont point montées au cœur de l’homme. Des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment » 1 Corinthiens 2 :9
Aujourd’hui, commencez à vous réjouir dans le Seigneur, car il demeure toujours présent.

samedi 7 février 2015

JESUS FAIT UN MIRACLE…

« Jésus leur dit : remplissez d’eau ces vases. Et ils les remplirent. »

 Jean 2 :7

…Mais avec l’aide des serviteurs. Nous sommes servantes, serviteurs. Cette position n’est pas toujours facile à accepter. Le service est humiliant s’il n’est pas fait dans l’amour. J’ai toujours apprécié les princesses de sang qui offraient un ‘bénévolat’ pour soigner les pauvres. Nous voyons telle Madame ou Mademoiselle tout le monde se pencher sur les plus déshérités, par contre nous ne trouvons presque plus de volontariat pour l’Oeuvre de Dieu. Ici, on est prophète, docteur…mais Jésus fit ce miracle de Cana non par l’intermédiaire de Marie mais par des serviteurs. Ce sont eux qui ont rempli les vases. Jésus se compare au cep, son Père est le vigneron. Il est l’essence même de la production. Le miracle n’est pas un hasard mais la définition même de Jésus. Il est le ‘boss’. Nous sommes ses serviteurs, alors obéissons pour faire ces merveilleux miracles. Ici, il a pourvu au vin, là il a vaincu la mort, plus loin il a refait des yeux avec de la boue. Jésus est l’essence même du miracle en action. A Cana, il eut besoin de serviteurs. Aujourd’hui il a encore BESOIN DE NOUS. Plaçons-nous dans sa trajectoire, là où il veut. Ne manquons pas les noces de l’Agneau. Elles sont proches et certaines. Avançons dans la vision des miracles.

vendredi 6 février 2015

SOUFFLER

« Après ces paroles, il souffla sur eux et leur dit : Recevez l’esprit Saint »

Jean 20 :23

Oui,  Jésus souffle avec sa bouche sur ses disciples. Jésus l’a fait avant nous. Notre souffle est régénéré par Jésus. IL EST ESPRIT ET VIE.
Jeune fille, quand j’étais angoissée maman priait pour moi, puis elle soufflait sur moi, me disant : « L’Esprit de Jésus… » Le souffle de vie est en nous qui croyons. Nous avons en nous la vie abondante. Quand l’Onction de Dieu nous saisit, nous renversons les souffrances des hommes et des femmes désespérés. Quelle grâce de pouvoir agir avec l’Esprit Saint de Jésus.
Laissez-le vous visiter, vous bénir. Vous aussi bénissez vos bien-aimés. Ce souffle de vie est en vous aujourd’hui.

jeudi 5 février 2015

JESUS LA PAIX

« Le soir de ce jour, qui était le premier de la semaine, les portes du lieu où se trouvaient les disciples étaient fermées à cause de la crainte qu’ils avaient des Juifs. Jésus vint, se présenta au milieu d’eux,

Et leur dit : La paix soit avec vous ! » Jean 20 :19

Le diable est l’auteur de toutes les craintes. Dites-vous bien que, lorsque vous avez peur, c’est l’ennemi qui vous effraie, et sachez que Jésus est là, tout proche de vous. Quelle grâce ! Ce jour-là, dimanche, le premier jour de la semaine, jour de rencontres, les disciples avaient pris soin de fermer les portes à clefs, les Juifs religieux cherchaient à les éliminer. Ils avaient vu leur Maître crucifié. Ils étaient dans la confusion, la tristesse, le doute. Toutes les vérités énoncées par Jésus étaient évanouies…Connaissez-vous de tels moments ? Sachez en tous cas que Jésus vous dit : Que la paix soit avec  toi ! Jésus nous salue toujours de sa paix. Le rassemblement des Elus pour la prière précède la venue de Jésus, LA PAIX. Imaginez leur joie ! Jésus souffle sur eux : « Recevez l’Esprit Saint ». Il ajoute : « Que la paix soit avec vous ! » Puis Il leur donne commission d’aller prêcher cette Bonne Nouvelle. Jésus leur lègue son ministère.
Mes amis, c’est lorsque tout est au plus mal dans nos vies que le Seigneur vient nous communiquer ses volontés. C’est là qu’Il est le plus proche, qu’Il arrive. C’est au moment le plus désespéré que LE MIRACLE SE PRODUIT, que quelque chose de bon arrive. Quelle grâce ! Levons les yeux vers le Seigneur…Il arrive…Disons-lui : Ta paix est avec moi, je ne crains plus.

mercredi 4 février 2015

TOUT COMME LA FOI SE COMMUNIQUE, LA PEUR SE TRANSMET

« Ne craignez pas leurs craintes, et ne soyez pas troublés, mais sanctifiez le Seigneur, le Christ, dans vos cœurs. » 1 Pierre 3 : 14-15

Les deux sont vivantes. L’une vient de Dieu, la foi, et l’autre, la peur vient du diable. L’esprit de peur est le plus actif dans la créature faible, non stabilisée sur la Parole de Dieu. En démonologie, on apprend que l’esprit guide est toujours la peur. Hitler, Staline, Mussolini avaient peur de la CROISSANCE DES JUIFS. Satan travaille toujours avec la peur. Surtout, REAGISSONS. Ne nous laissons pas enfermer dans cette prison de la peur,  car elle ouvre la porte à l’alcool, la cigarette, la drogue, la violence, la vengeance. Là où il y a la foi, il y a LA PAIX. Jésus dit : « Je vous donne ma paix, je vous laisse ma paix. » Il est ma paix. Je ne crains point : Que peut me faire un homme ?

mardi 3 février 2015

DIEU SUIT MEME NOS REGARDS

« Et alors, avant qu’ils m’invoquent, Moi je répondrai, ils parleront encore que Moi j’exaucerai. »

J’étais à l’époque un jeune pasteur dans la ville d’Albi, quand, un mardi après-midi, après la réunion d’évangélisation, je rentrais seul, tranquillement, à pieds, à mon domicile. Chemin faisant, mes regards suivaient machinalement les différents étalages. Le temps de quelques furtives secondes, une vitrine de confiseur défila également, permettant à mon regard d’accrocher au passage un superbe bocal de mandarines confites. Le temps d’un regard, le temps d’un désir vite oublié !
Quelle ne fut pas ma stupéfaction en arrivant à la maison de voir ce même bocal sur la table du séjour…Stupeur ! Nous n’avions pas les moyens de nous acheter des choses semblables… Mais l’épouse d’un docteur, dont la fille était amie de la nôtre, avait eu sur le cœur le désir de nous l’offrir…Quelle émotion de réaliser que Dieu peut connaître nos moindres désirs… !
« …ils n’oublieront pas les actes de Dieu… » Psaume 78 :7

                                                                                                             André SNANOUDJ

lundi 2 février 2015

AH, CETTE LOI DES VASES COMMUNICANTS…

« Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole malsaine, mais s’il y a lieu quelque bonne parole qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent. » Ephésiens 4 :29

« Un jeune évangéliste, que sa femme était sur le point de quitter, semblait être plus préoccupé par sa réputation et les réunions de réveil qu’il avait programmées que par la conquête de sa  femme et la restauration de son mariage. Alors qu’il s’agenouillait afin de prier pour la grande œuvre qu’il voulait accomplir pour Dieu, le Seigneur posa une question incisive à son jeune serviteur : « Qu’est-ce qui te fait croire que je vais te confier Mon Epouse, alors que tu ne te donnes même pas la peine de prendre soin de la tienne ? » (Tiré du livre ‘Ne pouvez-vous pas veiller avec moi’ de Larry Lea)
La communication est le lien entre les humains le plus agressé par l’Adversaire qui s’y entend pour le charger d’incompréhension, de confusion, d’ambiguïté, de quiproquo, d’erreurs et je ne sais quoi encore !
L’apôtre Jacques parle de la langue comme du gouvernail d’un grand navire. Ce gouvernail qui ne dépasse pas souvent un ou deux mètres dirige des navires de plusieurs centaines de mètres. Ainsi en est-il de certaines institutions : mariage, églises, familles…établis par Dieu lui-même et qui sont dirigés, voire manipulés par la langue. Oui, c’est souvent ce petit membre qui donne les directions…
Satan  s’en sert fréquemment avec succès. 
Communiquer mal, ne plus communiquer du tout, ça le connaît, lui qui a été chassé du Paradis, et il s’y entend pour projeter sa situation dans toutes les familles humaines.
« Une parole douce calme la fureur », dit le sage ; par tes paroles tu seras justifié et par tes paroles tu seras condamné, nous dit le Seigneur.
Communiquons et communiquons bien, car nous en avons tous les moyens dans la Parole de Dieu et grâce à beaucoup de témoignages positifs.

                                                                                                            André SNANAOUDJ

dimanche 1 février 2015

L’AMOUR, UN STYLE DE VIE

Aimez votre voisin (prochain) comme vous –mêmes »

Jacques 2 :8

L’amour ne se manifeste pas en face d’une tasse de thé, d’un bon repas, d’une agréable sorite. Dans ces cas-là nous sommes toujours prêts à nous aimer, à sourire, à parler, je parle des gens normaux, bien sûr ! L’amour, c’est plus que cela. C’est aimer quand nous sommes à bout de force, quand nous recevons dix à vingt personnes. Aimer, c’est quand nous n’avons plus beaucoup d’argent et que nous recevons un SOS pour un peuple en détresse, « Enfants affamés », « Chrétiens persécutés ». Aimer, c’est partager avec nos frères Africains que nous savons en peine pour nourrir leur famille. Combien vous donneriez-vous si vous deviez vous noter ? Honnêtement, même si nous ne sommes pas mauvais, si nous avons  eu des coups de cœur, si nous excellons en hospitalité par rapport à d’autres, nous avons besoin de recevoir l’amour quotidien de Celui qui en possède l’attribut. DIEU EST AMOUR.
Paul dit au Philippiens : « Ma prière est que vous abondiez en amour de plus en plus pour les autres. » Philippiens 1 :9-11
La Bible nous dit : « L’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné. » Romains 5 :5. C’est de cet amour que nous avons besoin pour les autres. Laissons Dieu être Dieu en nous par Jésus-Christ. Cet amour placera Satan en infériorité. Néanmoins, si vous ne vous aimez pas vous-même vous n’aimerez jamais les autres. Vous ne pouvez pas donner ce que vous n’avez pas. La Bible, version amplifiée, parle d’un cycle d’amour parfait. Le voici : DIEU EST AMOUR. IL VOUS AIME. RECEVEZ SON AMOUR. AIMEZ-VOUS.
Lorsque cela est bien accompli en vous, que vous l’avez en réserve, alors vous pouvez atteindre le monde en souffrance. Demandez pour aujourd’hui cette sorte d’amour.