vendredi 31 octobre 2014

LE SALUT EST UN TOUT

« Aujourd’hui, le salut est entré dans cette maison parce que cet homme est un fils d’Abraham. Car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. » Luc 19 :1-9


C’est le repentir, mais aussi remettre en ordre une vie dissolue. Zachée comprit qu’il devait rendre l’argent qu’il avait mal acquis en tant que collecteur d’impôts. Il décide de le rendre avec intérêts, c’est-à-dire quatre fois plus. Zachée, ce voleur, ce ‘bringueur’, était un homme prêt à laisser Jésus entrer, non seulement dans sa maison, mais aussi dans son cœur, dans sa vie. Il avait compris que Jésus C’EST PLUS QUE TOUT, et que pour être en harmonie avec lui il fallait être changé et tout changer. Le salut, c’est réparer les fautes du passé : mensonges, vols, larcins, faux témoignages. Puis, le sang de Jésus lave et purifie. Trop de chrétiens ont bâti leur vie spirituelle en Christ sur d’ANCIENNES RUINES. C’est pourquoi ils ne progressent pas. Ils restent là où ils étaient. La nouvelle naissance, c’est accepter Jésus, le laisser nous parler des choses les plus intimes de notre vie. C’est régler notre passé. Et ainsi, comme Jésus, nous pourrons dire : le salut est entré dans ma maison.

jeudi 30 octobre 2014

DANS LA FOURNAISE !

« Je le ferai fondre comme on fait fondre l’argent, je l’éprouverai comme on éprouve l’or. » Zacharie 13 :9

Charles Spurgeon disait : « Le raffineur n’est jamais à l’entrée de la fournaise quand l’or est sur le feu ». Quelle image ! Il faut donc une très forte chauffe pour produire l’or de la plus haute qualité. L’argent en demande moins, encore moins l’airain, moins encore l’étain. Le temps que vous désirerez passer dans la fournaise, et sous le regard du raffineur, déterminera la force de votre témoignage, de votre ministère. Dieu l’évaluera en étain, en airain, en argent ou or.
On dit que le raffineur monte la chaleur jusqu’à ce que la moindre particule étrangère à l’or remonte à la surface. Ensuite, il l’écume délicatement. Il monte encore la chauffe jusqu’a ce que toute particule ait disparu et qu’il puisse s’y regarder comme dans un miroir. Ainsi, l’épreuve nous purifie. Chaque épreuve nous rapproche de Lui. C’est seulement quand il peut se voir en nous qu’il commencera à nous utiliser.
Comprenez aujourd’hui que toutes les souffrances que vous avez subies et endurées font partie des plans de Dieu pour vous rapprocher de Lui. Vous pourrez ainsi dire au Seigneur : « Mon Bien-Aimé est beau comme un Lys ». Le Seigneur vous répondra : « Tu es belle ma fiancée, comme un lys au milieu des épines. ». Vous êtes devenu identique au Seigneur. Il est le Lys, vous êtes Son Lys. 

mercredi 29 octobre 2014

LES BONS AMIS

« Des gens vinrent à lui, amenant un paralytique porté par quatre hommes. Comme ils ne pouvaient l’aborder, à cause de la foule, ils découvrirent le toit de la maison où il était, et ils descendirent par cette ouverture le lit sur lequel le paralytique était couché…je te l’ordonne, dit-il au paralytique, lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison. Et à l’instant, il se leva, prit son lit, et sortit. »

Marc 2 : 3-4, 11-12

En 1981, rois amies de Suisse romande amenèrent, à Zurich une jeune femme d’une quarantaine d’années, atteinte d’un cancer terminal. J’étais seule ce jour-là à la Maison du Peuple, dans le cadre d’une mission qui dura trois mois. Ce dimanche après-midi donc, les trois dames, que je connaissais parce qu’elles avaient vécu avec nous, le trimestre précédent, les miracles que Dieu avait opéré à Lausanne, furent dans la foi totale que Dieu guérissait leur amie infirmière. Malgré cela, en cours de route, elles durent stopper la voiture tant leur amie était mal. Elles regrettèrent même un instant d’avoir engagé ce voyage. Au bord de la nationale ce furent des vomissements, des contractions d’un estomac perturbé. L’Ennemi, les démons de maladie tourmentaient ce corps avec violences.  Maintenant, elles étaient là, toutes les quatre, devant Dieu, devant moi, sa servante, dans une foi totale en sa guérison. J’ordonnai au cancer de sortir de ce corps. Je puis dire que : JESUS, VOYANT LEUR FOI, LA GUERIT.
Cette femme est bien vivante aujourd’hui ! Cela fait  treize ans depuis sa guérison par la Seigneur. Elle témoigna de nombreuses fois à la télévision, à la radio. Dieu rassembla notre foi pour intervenir. L’Evangile est le même hier, aujourd’hui et demain. JESUS NE CHANGE PAS. Nous avons vu l’Evangile se manifester par les miracles, exactement comme cela est écrit dans la Parole. N’ayez pas peur de mettre, vous aussi, TOUTE VOTRE CONFIANCE EN DIEU, dans le Dieu des miracles. L’Esprit vivant de Jésus agit exactement comme lorsqu’il était sur cette terre. JESUS N’A PAS CHANGE. Confiez-vous en Lui aujourd’hui.

mardi 28 octobre 2014

LE CHRETIEN FACE A LA MALADIE

« …mais s’il ne doute pas en son cœur et croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir. » Marc 11 :23



Il faut de l’énergie spirituelle pour combattre la maladie sous toutes ses formes. Certains sont assez forts pour le faire, d’autres n’y parviennent pas. C’est pourquoi le Seigneur
1-      Y a pourvu à la Croix du Calvaire ENTIEREMENT. Là, sur la Croix, Il a vaincu tous les maux, toutes les maladies, quelles qu’elles soient.
2-      Il est venu en chair pour montrer comment guérir et aider les malades ;
3-      Il a suscité des ministères de guérison pour aider les malades.
Ce que Dieu VEUT, avec un grand V, c’est que nous nous en sortions. Pour cela, nous aurons besoin de nous accrocher à la Parole de Dieu, de la lire jusqu’à ce qu’elle devienne un rhéma. La Parole c’est le logos. Quand elle descend au cœur, avec l’assurance que nous sommes guéris, elle devient rhéma. Mais nous sommes encore malades, me direz-vous, là est le problème ! Pas du tout ! Ne regardez plus au pied ou à la jambe ou aux hémorroïdes, mais regardez à cette Parole reçue qui est descendue en vous.
Un exemple personnel : je souffrais des reins depuis plus de trois ans. Je recherchai Dieu  dans sa Parole pour en finir. Un matin, je fus réveillée par Actes 17 :17 « En lui, nous avons la vie, le mouvement et l’être ». Ce fut une injection répétitive dans mon cerveau et dans tout mon être. Je recevais la Parole rhéma. Quel bien-être dans la foi ! Mais, attention, je n’étais pas encore guérie, j’avais toujours mal. Néanmoins, je descendis au sous-sol pour commencer à faire avec mon corps tout ce que je ne pouvais plus faire : toucher mes pieds avec mes mains, sans plier les genoux. Aïe, aïe ! Mais je disais et redisais : En lui, Jésus, j’ai la vie, le mouvement…Et un, et deux et trois. Et maintenant, sur l’adamstrainer je rame : et un et deux et trois…en Lui, j’ai la vie, le mouvement…Peu de jours après, j’étais totalement libérée.
Voyez-vous, les symptômes étaient toujours là, mais la foi reçue par la Parole rhéma accomplissait la guérison. OUI, DIEU VEUT VOUS GUERIR, car Il a envoyé Jésus, son Fils, pour nous sauver et nous guérir. Cherchez-Le aujourd’hui et vous recevrez vite un rhéma. Il va vous parler.

lundi 27 octobre 2014

DIEU N’ARRIVE JAMAIS EN RETARD

« Invoque-moi et je te répondrai ; je t’annoncerai de grandes choses, des choses cachées que tu ne connais pas. »

Jérémie 33 :3

J’ai toujours été subjuguée par l’attrait des mystères que Dieu promet de révéler, dans ce verset. Dieu a donc pour nous, au sein même de l’épreuve, des choses cachées à nous révéler. Eh bien, oui. J’ai fait un jour cette belle expérience. Une longue épreuve nous travaillait, nous harassait. Le diable essayait de nous déstabiliser. Ce soir-là, j’étais en Israël, allongée sur mon lit. Mon cœur brûlait par la douleur de l’épreuve. Je fus soudain ravi en Esprit. Je vis que ma souffrance rallongeait mon bras droit jusqu’au Trône de Dieu. Je touchai sa grâce. A partir de ce moment-là, plus jamais l’Ennemi ne put revenir à la charge. Dieu avait annulé son action, en haut dans les cieux et en bas sur la terre. Quant  à moi, j’avais vu et touché LA GLOIRE DE DIEU !
Oui, derrière nos épreuves il y a de beaux cadeaux, de belles prédictions de Dieu, pour ceux qui L’invoquent dans leur douleur. Accrochez-vous à la réponse de Dieu. Notez la sur un petit papier, collez la ici et là, sur le frigo, sur la glace de votre salle de bains, là où vous êtes souvent. Montrez bien à l’Adversaire que vous êtes déterminé à recevoir la réponse de Dieu. Même si vous pensez qu’elle tarde à venir. ELLE VIENDRA SANS RETARD !!!
Sachez-le aujourd’hui : la réponse est en route ! Confessez-le à haute voix, c’est tout ce que vous avez à faire. Car Jésus a accompli tous nos besoins, selon sa volonté.
Répétez avec moi : DIEU EST PLUS GRAND QUE MES BESOINS.

dimanche 26 octobre 2014

LA VICTOIRE DANS L’EPREUVE

« Les maux du juste sont en grand nombre : mais l’Eternel le délivre de tous. » Psaume 34 :19

« Chaque épreuve est un don, chaque fardeau une occasion de se fortifier », disait Smith Wigglesworth . L’apôtre de la foi connut lui-même trois années d’horribles souffrances. Il ‘agonisait’, mais un jour, en réponse à sa foi, il évacua les calculs qui bloquaient ses reins. Ceux-ci étaient semblables à des scies. Et pourtant, notre apôtre de la foi prêchait dans le feu. Dieu faisait par lui des miracles extraordinaires. A la fin de ses réunions il était attaqué dans ses reins, mais rien ne résista à sa foi éprouvée durant trois ans.
« Ma grâce te suffit » disait le Seigneur à Paul. Nous sommes parfois humiliés dans nos corps, nos familles, par diverses épreuves, mais cette humiliation nous garde de l’orgueil. Si nous savons l’accepter dans la foi, elle nous fait grandir dans l’espérance, la patience, la maîtrise de soi, l’amour. Cette place est difficile à occuper mais elle est glorieuse. Car la victoire est au bout.

samedi 25 octobre 2014

NE LACHEZ PAS. RESTEZ FERME.

« C’EST PAR LA SAGESSE QU’UNE MAISON SE CONSTRUIT ET C’EST PAR L’INTELLIGENCE QU’ELLE S’AFFERMIT. »

Proverbes 24 :3

La sagesse, c’est Jésus. Et Jésus c’est la sagesse.
Comme nous l’avons déjà dit, Jésus est la Parole. La Parole de Dieu est NOTRE MEILLEUR CONSEILLER pour construire notre maison. J’ai connu des couples qui avaient l’intelligence humaine, de belles situations, une belle maison, ils s’aimaient, ils connaissaient Dieu, ils étaient nés de nouveau, ils avaient bien cheminé avec Dieu, ils l’avaient servi. Et pourtant, un jour, leur maison a été renversée. L’intelligence de l’Esprit leur a manqué. L’intelligence qui patiente, qui se supporte l’un l’autre, l’amour de l’Esprit de Dieu qui peut aider à l’heure difficile. Oui, l’intelligence selon Dieu, ce sont les fruits de l’Esprit qu’il nous faut exercer pour affermir notre maison. Sans cela, elle sera renversée. Peut-être, aujourd’hui, êtes-vous sur le point de tout lâcher ? C’est toujours la première solution que vous suggère le Malin. Mais sachez, que par votre décision de maintenir votre maison, tout peut changer aujourd’hui. N’écoutez pas les autres, ne regardez pas à eux. Restez fidèle à votre maison. DIEU INTERVIENDRA LUI-MEME au temps et à l’heure voulus. Il a su retirer d’Egypte le peuple d’Israël ; il a fait un passage dans la mer.
Affermissez les pieux de votre tente par les fruits de l’Esprit qui sont : l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi.



vendredi 24 octobre 2014

BRANCHE SUR LA PAROLE POUR VIVRE ECLAIRE

« Ta Parole est une lampe à mes pieds et une lumière

sur mon sentier. » Psaume 119 :105

La Parole de Dieu a été pour David, dans ce verset, deux choses : UNE LAMPE ET UNE LUMIERE. C’est-à-dire, UNE LAMPE QUI ECLAIRE car une lampe sans huile n’éclaire pas, et de l’huile sans lampe est sans utilité pour éclairer.
L’éclairage, c’est le Saint-Esprit. La Parole. Le Verbe, le logos, c’est Jésus.
« La Parole était avec Dieu. La parole était Dieu. Tout a été fait par elle et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle. » Jean 1 :1-2
C’est pourquoi, lorsque nous la lisons et la méditons, nous sommes dynamisés à l’extrême. Les Chrétiens ‘palots’, ‘tristounets’, dépressifs, le sont en raison qu’ils ne la lisent pas, qu’ils ne s’en nourrissent pas. Pour que la Parole nous soit bénéfique, il nous faut savoir la méditer, la ruminer, comme les vaches dans les prés. Mon pasteur, Monsieur Roux, disait : « Il nous faut ruminer la Parole de Dieu ». Il fut instituteur et nous parlait comme à ses élèves. Les vaches, dans un premier temps, arrachent, mastiquent et avalent l’herbe, puis, lorsqu’elles en ont bien rempli leur panse, se reposent sur le pré et ruminent pendant une ou plusieurs heures. L’opération consiste à faire remonter la mixture incomplètement mâchée en la mastiquant à nouveau, cette fois-ci plus longuement.
Lorsque nous lisons la Parole, nous devons aussi, pour qu’elle nous profite, car à la première lecture nous n’en avons saisi que les aspects les plus saillants, la ruminer, c’est-à-dire faire repasser les textes dans notre esprit, les méditer, imaginer les situations dans le contexte de l’époque et en tirer les applications  pour nos besoins d’aujourd’hui. Elle descend ainsi dans notre âme pour y rester à jamais.
Accompagnez vos lectures en écrivant vos réflexions. Je fais cela depuis plus de quarante ans et la Parole s’inscrit bien mieux en moi.
Que la Parole devienne partie intégrante de vous-même. Commencez aujourd’hui à lire et à prononcer la Parole.


jeudi 23 octobre 2014

PRENEZ VOTRE MEDICAMENT

« Mes paroles sont la vie de ceux qui les trouvent et LA SANTE de toute leur chair. » Proverbes 4 :22
Mes paroles sont un médicament pour toute leur chair (version anglaise)


La Bible est le livre des promesses de guérison et de puissance pour la guérison de l’âme et du corps. C’est pourquoi vous ne devez pas en déroger. Salomon, le grand roi d’Israël, dira : « Mon fils, écoute mes paroles ; car elles sont la vie de ceux qui les trouvent, la santé de toute leur chair ».
La Parole de Dieu est un médicament bienfaisant mais vous devez savoir comment le prendre. Si vous pensez négatif, si vous doutez, alors vous ne pouvez absorber la Parole de Dieu. Vous devez laisser Dieu VOUS PENETRER PAR SON ESPRIT ET SA PAROLE pour que votre foi soit éveillée. Alors, vous pourrez agir et réagir selon la Parole de Dieu. Si vous agissez autrement vous faites erreur. Vous ne recevrez rien du Seigneur.
Ici, il est question de la santé pour toute chair, incluant la vôtre, votre chair. Ces versets sont votre médicament. Lisez aujourd’hui :

« L’Eternel éloignera de toi toute maladie » Deutéronome 7 :15
« Jésus, qui était de Nazareth, comment Dieu l’a oint de l’esprit Saint et de puissance, lui qui a passé de lieu en lieu, faisant du bien et guérissant tous  ceux que le diable avait asservis à sa puissance. » Actes 10 :38

mercredi 22 octobre 2014

L’AMOUR TRIOMPHE DANS L’EPREUVE

« Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a tant aimés. »

Romains 8 :37

Je revenais avant-hier d’une réunion avec Christie…Une belle âme, pleine de l’Esprit. Elle était passée par une voie si dure, « Mais », me dit-elle, « dans cette épreuve avec mon mari, je me suis gardée de toute amertume. Dieu m’a placée dans une bulle, j’ai été protégée de ces infâmes projections. Dieu a été bon pour moi. »
L’amour triomphe de la mort. L’amour est plus fort que la mort. L’amour est vainqueur de tous nos obstacles
Il est notre cheval de bataille. Quand on vous fait du mal, pensez et dites : « Seigneur, comment puis-je le rendre en bien ? Car l’amour est la force de frappe contre toutes les investigations de l’Adversaire. On dit du mal de vous ? Jésus a dit : « Réjouissez-vous car il le faut… ». C’est quand on dit du bien que vous n’êtes pas dans Ses voies.
J’ai entendu des gens que je ne connaissais pas venir se soulager de leurs critiques à mon égard. J’étais si étrangère à leur problème que je ne pouvais que leur dire : « Je vous pardonne, mais réglez cela avec le Saint-Esprit qui m’utilise. »
Je comprends que celui qui a critiqué un ministère de puissance, de délivrance, parce qu’il est féminin, soit confus au jour où il en a besoin. Mais ce qui est important, ce n’est pas ce qu’on a dit en mal, mais le fait qu’on est assez HUMBLE POUR RECTIFIER. Dieu élève les humbles mais il rabaisse les orgueilleux. Il n’y a que les imbéciles, disait un ami, qui ne se trompent pas ou qui n’aiment pas. Rappelez-vous : L’amour triomphe de la mort.

Aujourd’hui, placez-vous dans cette trajectoire de l’amour triomphateur de la mort.

mardi 21 octobre 2014

VIVRE LA PAROLE

« J’ai estimé les paroles de sa bouche plus nécessaires
Que la nourriture. »

Job 23 :12

Job était couvert d’ulcères, dépouillé de tout argent. Ses dix enfants sont morts, mais il reste juste en Dieu. Peut-être vous dites-vous : mais comment cette sorte de foi est-elle possible ? Laissez Job vous le dire lui-même :
« J’ai estimé les paroles de sa bouche plus nécessaires que ma nourriture. »

Job vécut dans la Parole ! Il n’avait pas d’autre moyen de vivre. Il refusa toute autre direction que celle de Dieu. Il accepta le verdict. IL MARCHA EN RELATION ETROITE AVEC DIEU. Cela fut-il payé en retour ? Lisez-le vous-même :

« A la fin, Job reçut plus qu’au départ. Il reçut des fils et des filles, du bétail, des vaches, des bœufs, des brebis. Il vécut pour voir ses petits-enfants. »  Job 42 :16

Une chose que vous devez savoir : Quand Job pria pour ses amis, le Seigneur le délivra de ses épreuves (verset 10). Quand il commença à être concerné par les autres, Dieu commença à être concerné par lui.
Alors, faites de même, ça marche même aujourd’hui.

lundi 20 octobre 2014

LA DIME, LES OFFRANDES, LA MULTIPLICATION

« Donnez, et il vous sera donné : on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde. »

Luc 6 :38

Le Rabbin Eliezer aimait les pauvres. Sur son parcours, il aidait tous ceux qui manquaient du nécessaire. Comme il allait marier sa fille Rachel, son épouse lui donna un petit pécule qu’elle avait économisé au cours des années. Eliézer sortit pour faire les achats du mariage. En route, il aperçut deux anciens de la synagogue qui quêtaient pour les pauvres de la communauté. Connaissant le cœur d’Eliézer, ils rebroussèrent vite chemin, mais celui-ci les avaient vus. Il les chercha dans la rue de droite, puis les aperçut.
-          Hé, amis ! Que faites-vous ? Pour qui quêtez-vous ?
-          Pour des pauvres.
-          Tenez, prenez cet argent. C’est pour eux.
Il donna pratiquement tout et ne garda que quelque menue monnaie. Il pensa : « Et si j’achetais un peu de blé avec ce qui me reste ? » Il l’entreposa dans son grenier, puis l’oublia !
Les noces approchaient…Rachel monta au grenier pour y chercher des provisions, mais la porte était bloquée. Elle la poussa aussi fortement qu’elle put, et à plusieurs reprises, mais il semblait qu’un mur était derrière.
-          Papa, papa, la porte du grenier est bloquée !
Quatre à quatre, Eliézer monta : poum, poum, pim…Un mur ! On démonta la porte : le blé avait multiplié et envahi le grenier… ! Eliézer bénit Dieu de lui permettre de donner à d’autres pauvres la récolte de sa semence.
Ami, quand l’Eternel vous donne, rappelez-vous cette histoire. Faites comme Eliézer, donnez d’abord. Et vous verrez que ce qui restera se multipliera dans vos mains, mais aussi dans vos maisons. Vos greniers regorgeront. Aujourd’hui, donnez à l’Eternel avec joie.

dimanche 19 octobre 2014

LE PLAN PARFAIT DE DIEU S’ACCOMPLIT PENDANT LES REVEILS

« O vous qui avez soif, venez vers les eaux, même celui qui n’a point d’argent ! »

Esaïe 55 :1

A l’occasion du grand réveil de la rue Asuza, au début du siècle, un prédicateur en feu lança cette invitation : « J’invite tous ceux qui sont intéressés par le pardon, la sanctification, la guérison et le baptême du Saint-Esprit à se lever et à venir… »
Tout le plan de Dieu était dans ces paroles.
La soif de Dieu a toujours caractérisé les réveils. Tout le quotidien s’en trouve bousculé : les repas, le sommeil, les activités…La soif d’entendre et de recevoir les Paroles de Dieu prime tout !
Dans certains réveils, des réunions durèrent des mois, sans interruption, le jour comme la nuit. Plus de vie privée, plus de réunions programmées, plus de plans humains. C’est l’Esprit qui dirige tout. Anciens comme jeunes convertis sont à plat ventre devant Dieu. C’est une mise à plat pour toutes les vies chrétiennes….Des manquements infimes, sous l’éclairage de Dieu, deviennent des péchés énormes, et les repentances publiques se succèdent sous l’Esprit qui apporte aussi une paix profonde intérieure sans mesure…
Nous sommes en ces temps prophétisés par Esaïe, ces temps de grâce où nous pouvons nous approcher, être visités et secourus.

« Cherchez l’Eternel pendant qu’il se trouve, invoquez-le tandis qu’il est près. »
Esaïe 55 :6

samedi 18 octobre 2014

NOUS AVONS HELAS LE POUVOIR DE LIMITER DIEU DANS SES BENEDICTIONS

« L’Eternel avait béni Abraham en toutes choses »

Genèse 24 :1

« Comment Dieu qui nous a donné son Fils ne nous donnera-t-il pas toutes choses avec lui ? » Romains 8 :32


Si Paul révèle cela à l’Eglise c’est que le chrétien doit savoir, à l’exemple d’Abraham qui a marché avec Dieu et hérité des promesses, que ce processus n’a pas été changé pour le croyant de la Nouvelle Alliance.
Un petit chœur confesse avec hardiesse cette vérité :

Je suis béni, je suis béni,
Chaque jour que Dieu fait je suis béni,
Le matin quand je me lève et pendant la nuit aussi,
Je suis béni, je suis béni.

Croyons ceci fermement. Déclarons-le avec humilité et reconnaissance et nous le serons. Ignorons-le, et entretenons des pensées négatives ou de culpabilité, et nous verserons dans la malédiction. Nous pouvons rejeter ici une des paroles du Deutéronome :

« J’ai mis devant toi deux chemins, celui de la vie et celui de la mort,
choisis celui de la vie… »
Deutéronome 30 :19

vendredi 17 octobre 2014

LES SOUFFRANCES INEVITABLES

« Mes chers amis, vous avez été plongés dans la fournaise de l’épreuve. N’en soyez pas surpris comme s’il vous arrivait quelque chose d’anormal. Au contraire, réjouissez-vous, car vous participez aux souffrances du Christ afin d’être remplis de joie quand il paraîtra dans toute sa gloire.
Si l’on vous insulte parce que vous appartenez au Christ, heureux êtes-vous, car l’Esprit glorieux l’Esprit de Dieu repose sur vous. »

1 Pierre 4 : 12 - 13

C’est au travers d’une épreuve très difficile que ma mère, ma tante, et moi, Sergine, nous avons rencontré Jésus, notre Sauveur. Mon père avait quitté le foyer, parti avec une autre femme. Le ciel tomba sur nous….A cette époque-là, les femmes n’étaient pas autonomes, nous dépendions matériellement de lui. Ma mère dut se débattre avec les avocats pour obtenir une pension correcte, ce qu’elle obtint par la grâce de Dieu, mais après beaucoup de combats. Nous avons connu la ‘fournaise’ de la maladie que causa cette longue épreuve.
C’est dans ce contexte que ma mère rencontra une connaissance qui lui donna l’adresse d’une église évangélique très, très, réveillée, à Toulouse. Le Seigneur se révéla à nous trois.
Ces souffrances nous conduisirent à une recherche spirituelle sérieuse. Le Seigneur se révéla à nous trois, chacune séparément, bien sûr. Nous reçûmes l’effusion du Saint-Esprit. Notre vie changea d’une manière extraordinaire : nous découvrions un Sauveur, Jésus-Christ, le Père, notre Papa….
Dans cette épreuve, qui dura encore et encore, nous avons découvert LA PRIERE, un des éléments de base de notre vie spirituelle, mais surtout : LA PAROLE DE DIEU, LA BIBLE. Elle commença à nous parler, jour après jour, à nous conduire dans les sentiers de la Vérité. Le Psaume 23 me désaltéra jour après jour. Il restaura mon âme assoiffée, mon corps épuisé par un début de violentes brûlures d’estomac dues au chagrin.
Ne désespérez pas si votre épreuve est longue et douloureuse ! Persévérez dans la confiance au Seigneur, dans la Parole de Dieu ! Le Seigneur est fidèle, Il sait sortir Ses enfants de l’épreuve. Mais au travers d’elles, Il nous apprend à combattre un Adversaire, le diable, que nous ne connaissions pas jusqu’alors. Apportez au Seigneur votre épreuve et Il agira.

jeudi 16 octobre 2014

« C’est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, C’est dans le calme et la confiance que sera votre force. » Esaïe 30 :15

Aujourd’hui, toujours au milieu de la tempête de la maladie, cette Parole de l’Ecriture, du Seigneur, est venue jusqu’à moi, dans mon cœur. Pour la première fois de ma vie chrétienne, elle est descendue dans mon cœur, douce et bienfaisante.
J’ai alors réalisé combien c’est vrai : même au chevet d’un être cher, on peut expérimenter la douceur de la grâce de Dieu qui descend jusqu’à nous, apportant calme et force à notre être entier.
Ne perdons pas pied dans l’épreuve. Ne pensons pas ou n’essayons pas de régler les aléas du présent et du futur. Le Seigneur a tout prévu d’avance. Il est le Défenseur de la veuve et de l’orphelin, le Défenseur de la délaissée que le conjoint a quittée. Faisons confiance, TOUT EST LA.  Lisons et relisons la Parole du Seigneur ; qu’elle pénètre nos cœurs, nos pensées, notre âme, notre intelligence ! Oui, « …et le Dieu de paix gardera vos, cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. »  Philippiens 4 :7


                                                                                                     Sergine Snanoudj

mercredi 15 octobre 2014

L’EPREUVE ENCORE…

Nous ne voulons pas nous focaliser sur elle, mais il faut en parler. Ce qui ne nous empêche pas de penser positif et d’éloigner de nous toute opposition. Néanmoins, nous sommes dans un monde où règne le prince de ce monde, Satan. Il  a toujours été l’Ennemi des enfants de Dieu et de l’homme, du Seigneur lui-même. Jésus l’a vaincu à la Croix, certes…Jésus l’a confronté tout au long de sa vie terrestre, ainsi que les Pharisiens qui lui barraient la route.
Comme nous l’avons dit, l’épreuve est purifiante.

Lisez l’histoire de ce forgeron : Acier trempé ou ferraille sans valeur ?

« Acier bien trempé ou ferraille sans valeur ?

Un vieux forgeron, à qui l’on demandait pourquoi son Dieu, qu’il disait plein d’amour, l’avait laissé traverser tant d’épreuves, s’empara d’un morceau de fer et répondit :
Pour que ce morceau de fer soit utile, il faut qu’il devienne dur et résistant. Je le fais donc passer par le feu où il est chauffé à blanc, puis le pose sur l’enclume où je le frappe une ou deux fois pour voir s’il supporte la trempe. S’il résiste, je le plonge dans l’eau, puis je le remets dans le feu, puis de nouveau sur l’enclume. Je peux alors en tirer quelque chose d’utile. Mais s’il ne supporte pas la trempe, je le jette à la ferraille et il sera revendu pour quelques centimes.
Dieu m’a mis à l’épreuve, ajouta-t-il, pour voir su je supporterais la trempe. J’accepte mes difficultés aussi joyeusement que possible et je prie chaque jour : « Seigneur, mets-moi dans le feu, ou dans l’eau, s’il le faut, mais surtout ne me jette pas à la ferraille ! »
La vie est pleine d’épreuves et de problèmes. Jésus nous avertit : « Vous aurez des tribulations dans le monde » ; mais il a ajouté : « Ayez bon courage, moi j’ai vaincu le monde. » (Jean 16 :33) Comme l’acier se durcit par la trempe, nous aussi nous devenons plus forts par les épreuves que nous traversons ; Dieu veut faire de nous des chrétiens –bien trempés- dont il peut se servir. »
                                                                                                                                             Daily blessing

mardi 14 octobre 2014

LA FORCE DANS L’EPREUVE

« Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute puissante. » (Ephésiens 6 :10)
J’ai connu l’épreuve du divorce de mes parents, comme je l’ai déjà dit. J’ai traversé des moments matériels très difficiles et ceux-ci ont duré des années. Mais l’épreuve de la maladie, grave, incurable, lorsqu’elle vient à toucher un être cher, enfant, époux, est épuisante, lancinante… Nous avons épaulé, par la prière, un jeune couple dont l’enfant, d’une dizaine d’années, mourut de la maladie dont il souffrait : un cancer. Pourquoi, Dieu n’a-t-Il pas répondu ? Certains pourquoi auront leur réponse dans le ciel, lorsque nous verrons le Maître. Ce qui est certain, c’est que cet enfant est au ciel, avec le Seigneur et toutes les familles réunies avec Lui.
Tout récemment, j’ai écouté le témoignage au sujet d’un enfant mort dans un accident de voiture : il est allé au ciel ; là, il a rencontré sa petite sœur dont il avait ignoré l’existence : elle avait dans les 7 ans. Ce qui peut nous surprendre, c’est que la maman ne lui avait jamais confié qu’elle avait perdu cette fille avant que celle-ci naisse.
Nous aussi, nous avons perdu une petite-fille, elle avait huit à dix jours… elle était splendide, c’était le portrait de son papa. Elle naquit avec une insuffisance cardiaque. Nous avons ramené le petit cercueil ici, à Panassac. Nous l’avions appelée Anouk. Je sais qu’elle est allée rejoindre ma maman partie un an auparavant, presque jour pour jour.
Voilà, bien-aimés, si vous passez par-là, sachez que votre enfant est avec le Seigneur et tous les saints, dans le ciel.

                                                                       Sergine Snanoudj

lundi 13 octobre 2014

L’EPREUVE, LA MALADIE INCURABLE

L’épreuve de la maladie est très aliénante. En 2004, André commença à perdre la vue. Régulièrement, nous allions à l’hôpital toulousain de Purpan pour des séances de laser. Là, nous rencontrions des malheureux, parfois aveugles, paralysés, sur une chaise roulante. C’était toujours l’occasion de témoigner à l’une  ou l’autre de ces personnes.
Jusqu’alors, nous n’avions pas connu ces souffrances. Par contre, nous avions prié pour un grand nombre de malades que le Seigneur avait guéris. A Ouagadougou, au Burkina Faso, lors d’une mission au Palais du Peuple, un homme retrouva la vue, des enfants, qui marchaient à quatre pattes, se redressèrent.

Alors, pourquoi l’épreuve ?
Est-ce pour mieux comprendre les autres ?

Je ne sais. Dans tous les cas, je persévère à croire que le Seigneur guérit, qu’Il délivre de l’épreuve les hommes pieux. (2 Pierre 2. 9)
Une Indienne, dont le mari était atteint de cécité, pria avec ferveur pour lui. Il fut guéri.
Persévérons à croire la Parole de Dieu, même au sein de l’épreuve. Ne baissons pas les bras !

                                                                       Sergine Snanoudj

dimanche 12 octobre 2014

LA RESURRECTION DE LAZARE

« Marthe, la sœur du mort, dit alors :
Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là.
Jésus lui dit :
Ne t’ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? »
Jean 11. 39-40

Bien souvent, dans l’épreuve, nous sommes en proie à l’incrédulité, tout simplement parce que les faits négatifs sont là : maladie, divorce, manque d’argent… nous sommes confrontés à de dures réalités, si bien que la foi paraît être une utopie. Et pourtant, le Seigneur nous dit : « Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ! »
Devant l’impossible restons confiants. Je sais que c’est très difficile, mais LA FOI, c’est le vide, dans le naturel. Mais dans le spirituel : « une ferme assurance des choses que l’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. » (Hébreux 11. 1)
On ne le voit pas dans le naturel, mais dans l’Esprit nous saisissons ‘la chose’ que l’on espère.
« C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la Parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles. » (Hébreux 11. 2)

André et moi, nous avons dû apprendre à avancer par la foi, car rien de ce que le Seigneur nous a dit de faire pour Le servir n’était gratuit. Nous n’avions pas d’argent pour le faire. Comme des funambules inexpérimentés, nous marchions sur une corde raide à trois mètres du sol ; très désagréable sensation, croyez-moi ! Je dirais, à la gloire de Dieu, que notre bien-aimé Seigneur et Sauveur fut toujours FIDELE, à ses ordres, à ses paroles, à ses désirs. Ne peuvent être admis à l’école de la foi, que ceux que le Maître a appelés. Tout enfant de Dieu la connaîtra s’il veut Le servir.
Dans le texte, Jésus, fidèle à sa parole, à son amour pour son ami Lazare et ses sœurs, le ressuscita.
Nous aussi, nous sommes ses amis. Plus que cela, ses enfants rachetés à très grand prix. Lisez et relisez le chapitre 11 de l’épître aux Hébreux. Jeûnez pour accompagner votre combat afin de percer dans l’invisible. Cherchez le Seigneur de tout votre cœur, jusqu’à ce qu’il soit votre ami, tout comme Il fut celui de Lazare.


                                                                                  Sergine Snanoudj

samedi 11 octobre 2014

L’INCREDULITE

« Ainsi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité. » (Hébreux 3.19)

L’incrédulité, un mot comme un autre, mais avec une signification bien précise : ne pas y croire, ou ne pas croire. Or, la foi, au contraire, est « une ferme assurance des choses que l’on espère, une démonstration de celles que l’on ne voit pas. Pour l’avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable. » Hébreux 11. 1-2
Dans une petite ville de la Chine, un réveil spirituel éclata dans une école primaire : comme à l’accoutumée, le maître commençait la journée par la prière et la lecture de la Parole de Dieu. Les enfants priaient le Seigneur pour une bonne journée, lorsque, soudain, leurs louanges montèrent de plus en plus fortes vers le ciel… Le maître ne put les arrêter, la gloire de Dieu était là, si intense. Cette visitation, que nous appellerons  un réveil, dura plusieurs jours, nuit et jour. Les enfants reçurent des visions spirituelles, notamment sur l’esprit d’incrédulité : l’un d’eux vit comment les démons d’incrédulité agissent sur l’être humain. L’instrument, que le démon d’incrédulité utilise, ressemble à un crochet (que l’on utilise pour faire de la dentelle), très fin, petit à petit il tisse sa toile de pensées incrédules dans les pensées de ceux qui veulent bien les recevoir.
L’incrédulité ouvre la porte au mal. En fait, c’est la ‘porte’ du mal par laquelle entrent toutes les dérives, selon que le décrit le livre de l’Apocalypse, chapitre 22, verset 14 :
« Dehors les chiens, les magiciens, les débauchés, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge. »
Plus que jamais nous sommes confrontés à cet esprit d’incrédulité.
Soyons très vigilants. Veillons et prions car, bientôt, le Maître va venir. Maranatha !

                                                                                  Sergine Snanoudj


vendredi 10 octobre 2014

Remercier Dieu quand tout s’effondre

Il est important de louer Dieu dès le matin, ou la nuit, ou le jour, quelle que soit notre situation. Aussitôt, les ténèbres s’enfuient, nous retrouvons la confiance intérieure de notre âme.
« Mon âme, bénis l'Eternel, et n'oublie aucun de ses bienfaits. » (Psaume 103. 2)
Je commande à mon âme de se redresser, de se réjouir.


                                                                                  Sergine Snanoudj

jeudi 9 octobre 2014

« Mais ceux qui sont humbles auront le pays comme possession, et ils jouiront d'une paix profonde. » (Psaume 37. 11)

Ce pays peut être celui où le Seigneur nous a implanté pour Sa Moisson. Certes, quand nous arrivons, tout jeune, dans un lieu nouveau, mais désigné par le Seigneur, il mettra la faveur autour de nous. La faveur de Dieu sur l’enfant de Dieu est un signe qu’il nous agrée, que nous sommes bien là où lui seul nous a placé. L’endroit peut paraître bien difficile, car l’ennemi des âmes y est implanté, mais notre amour pour nos voisins, notre disponibilité à les aider feront la différence. Nos prières, notre joie de vivre rayonneront autour de nous comme le soleil au printemps.
Il est important, pour réussir dans un endroit, d’y avoir été conduit par le Seigneur. Mais aussi, n’oublions pas d’être humble, aimable, ouvert, disponible.
La paix, c’est le shalom d’Israël. Sans la paix, il n’y a point de bonheur. Le Seigneur la donne à tous ceux qui la veulent.
Même au milieu de la tempête, de la maladie, de la guerre, nous pouvons connaître la paix du cœur, nous réfugiant dans le Seigneur et sa parole toute puissante.
Une bonne confession de foi : aujourd’hui, je me réjouis dans le Seigneur tout puissant.

                                                                                  Sergine Snanoudj



mercredi 8 octobre 2014

« D’ici peu de temps, fini le méchant ! Tu demanderas où il est passé : il ne sera plus. Mais ceux qui sont humbles auront le pays comme possession. » (Psaume 37. 10)

De fait, lorsque nous sommes oppressés par le méchant, nous avons l’impression que toute notre vie en dépendra. Mais un jour, le Seigneur renverse la situation : il nous « délivre du filet de l'oiseleur, de la peste et de ses ravages. » (Psaume 91. 3) Le méchant n’est plus, il a disparu, non par enchantement, mais par nos incessantes prières accompagnées du jeûne, et cela, régulièrement. Le psaume 68 affirme : « Dieu se lève, ses ennemis se dispersent, et ses adversaires fuient devant sa face. Comme la fumée se dissipe, tu les dissipes ; comme la cire se fond au feu, les méchants disparaissent devant Dieu. » (Versets 2 et 3).
J’ai littéralement vu cela dans notre ministère, j’ai proclamé ce verset face à l’adversité : peu de temps après, nous étions libérés !


                                                                                  Sergine Snanoudj

mardi 7 octobre 2014

« Demeure en silence devant l’Eternel, attends-toi à lui, ne t’irrite pas devant le succès qu’obtiennent les uns ni devant les ruses que déploient les autres ! » Psaume 37. 7

Effectivement, j’ai été témoin à l’époque, dans la communauté arménienne, des réactions de pauvres exilés arrivés en France sans moyen. (Voir le film Mayrig d’Henri Verneuil). Parmi eux, certains avaient réussi à ouvrir un commerce florissant. D’autres moins doués pour la vente avaient du mal à évoluer ; parfois certains étaient irrités du succès des autres et en concevaient de l’amertume.
Gardons-nous de la jalousie : elle peut paralyser la main du Seigneur à notre égard. Au contraire, restons dans la confiance et le silence, c’est là que sera notre force. Dieu connaît et voit nos besoins, mais aussi nos cœurs, gardons-les de toute convoitise.

                                                                                  Sergine Snanoudj


lundi 6 octobre 2014

« Il fera paraître ta justice comme la lumière et ton droit comme le soleil à son midi. » (Psaume 37. 6)

Je vous l'ai dit : dans ce bel appartement, nous étions très limitées matériellement. Mon père donnait une faible pension qu'on devait aller chercher à son lieu de travail -un cabinet dentaire- lorsque le retard s'accumulait. Un jour, maman pria et jeûna pour avoir une étudiante qu'elle prendrait en pension.
Le Seigneur répondit le soir-même. Une gentille jeune fille étudiante à l'école vétérinaire se présenta, puis une autre. Elles devinrent des amies. Aujourd'hui encore nous sommes très proches d'elles ; 50 ans ont passé ! Maman fut comblée, et dès lors, elle fut à l'aise matériellement.
Bénissons Dieu pour sa fidélité. Dieu est fidèle et juste envers les enfants de ses enfants, à plusieurs générations (Deutéronome 7. 9). Ne dites pas : Comment vais-je sortir de ma situation matérielle ? Priez et jeûnez !
Vous verrez l'immédiate intervention de Dieu. 

                                                                                  Sergine Snanoudj

dimanche 5 octobre 2014

C’est à l’Eternel qu’il faut remettre tout son avenir.

« Aie confiance en lui, et il agira. » (Psaume 37. 5)  

J’avais vingt ans quand je pris ce psaume au mot. Je n’avais, devant moi, aucun avenir spirituel, je venais de me donner au Seigneur, j’avais quitté le monde, ses plaisirs, ses programmes. Maintenant, mon désir le plus ardent était de servir le Seigneur, le faire connaître à ma génération.
Ma mère, ma tante et moi -mon père était parti- nous vivions dans un très bel appartement, mais avec peu d’argent. Toutefois, nous étions dans la joie du salut, entourées d’une belle église où les âmes se donnaient au Seigneur jour après jour. En ce temps-là, j’ai donc pris cette parole du psaume 37 au mot, faisant entièrement confiance pour mon avenir. Je voulais servir le Seigneur, « point final » ! Je me suis préparée dans la prière dès 5 heures du matin, la lecture de la parole, l’assiduité aux réunions, les visites aux personnes âgées, pauvres. Et le Seigneur a magnifiquement ouvert la porte de l’école  biblique en Angleterre, puis, du service, à Paris, dans une communauté messianique où j’ai rencontré mon futur mari.
Oui, c’est à l’Eternel qu’il vous faut remettre tout votre avenir, cela, sans douter. Je vous encourage à faire confiance au Seigneur : il agira, quels que soient votre âge, votre situation, vos aspirations spirituelles. Dieu ne répond qu’à ceux qui s’engagent à marcher avec lui. Aujourd’hui, faites la prière d’abandon au Seigneur, sans rien garder de votre moi.

                                                                                  Sergine Snanoudj

samedi 4 octobre 2014

« Cette sorte de démon ne sort que par la prière et par le jeûne. » (Matthieu 17. 21)

Le cas du Gadarénien est absolument hallucinant. Cet homme était fou, il ne vivait plus : il fréquentait les cimetières, la mort ! C’est ainsi que l’ennemi bouleverse une vie d’homme, de femme ou d’enfant. J’en ai connu… Mais Dieu a envoyé son fils unique afin de nous libérer. « Ceux qui étaient assis dans l'ombre de la mort ont vu une grande lumière. » (Matthieu 4.16)
Cette lumière, c’est Jésus : « Je suis la lumière du monde. » (Jean 8. 12)
Jésus -cette lumière- a libéré cet homme gadarénien ; les démons qui l’habitaient se sont échappés dans un troupeau de cochons qui se trouvaient non loin de là. Ils se sont jetés à la mer.
« Nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les esprits mauvais dans les lieux célestes. » (Ephésiens 6. 12) Notre combat n’est pas charnel, mais spirituel.
C’est pourquoi un réveil spirituel balaie les esprits impurs, libère les possédés, les malades. Ce réveil -le dernier- est très proche de nous ; nous le sentons arriver avec une grande puissance. Continuons à prier, à le visionner… En attendant, jeûnons et prions afin de voir la gloire de Dieu sur les cas inguérissables qui nous entourent. Le Seigneur agit encore aujourd’hui.
Au début de ma conversion en 1954, j’allais visiter les malades mentaux à l’hôpital psychiatrique de Toulouse, accompagnée d’une ancienne patiente que le Seigneur avait libérée. Nous avons vu le Seigneur libérer une femme de 40 ans environ, qui entendait des voix, elle était épuisée. Le Seigneur la libéra instantanément après la prière de la foi, elle sortit de l’hôpital le lendemain.

                                                                                  Sergine Snanoudj

vendredi 3 octobre 2014

« Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort. » (Jean 11. 25)

Dans la maladie, nous confrontons la mort chaque jour, surtout lorsque celle-ci touche les organes vitaux du corps, comme le cœur… Nous avions eu pour André des alertes nocturnes, avant son opération du cœur. Nuit après nuit… la valve mitrale ne fonctionnait plus correctement. Nous étions à son chevet particulièrement la nuit. Il y a des heures où l’ennemi de nos âmes se manifeste spécialement : à trois heures du matin, au lever du jour, à cinq heures du soir ou au coucher du soleil.
« La prière fervente du juste » à ce moment « a une grande efficace. » (Jacques 5. 16). 
Le Seigneur, par son Esprit qui vit en nous, nous apprend à persévérer dans ce combat contre la mort.
J’ai appris le combat spirituel auprès de chrétiens exercés, tout au début de ma conversion. Seul le sang précieux de Jésus qui a coulé à la croix du calvaire éloigne l’action de l’adversaire. Peu à peu la paix revient sur le corps du souffrant attaqué.
J’ai appris aussi que l’ennemi aimait toucher les viscères, tout comme les fauves qui mangent d’abord le foie, l’estomac, le cœur, organes sensibles et vitaux.
J’ai moi-même connu de grosses attaques foudroyantes au niveau de l’estomac. Quand nous menons le combat spirituel, il nous faut apprendre à nous protéger en prenant une nourriture très légère.
Le jeûne et la prière sont aussi de puissantes armes dans le combat spirituel. (Matthieu 17. 21)

                                                                                  Sergine Snanoudj

jeudi 2 octobre 2014

L’épreuve de notre foi

« L'ange de l'Éternel campe autour de ceux qui le craignent. » (Psaume 34. 8)

Un matin –c’était au début de l’épreuve présente- au chevet de mon lit, j’entendis les anges parler en langues, j’étais inondée d’une huile fraîche… J’étais portée dans la traversée du début de cette longue épreuve. Je sentais la présence de Dieu autour de moi, et en moi. C’était ma seule ressource.
L’expérience est aussi pour vous : Ne vous révoltez pas dans l’épreuve. Laissez le Seigneur vous conduire dans la vallée de l’ombre de la mort, ou de la maladie, ou du divorce. Quelle que soit votre combat, acceptez-le. Jésus est là pour vous dire : « Je suis avec toi. Je suis là. Ne crains pas. Je t’aime. » Il nous comprend et vient à notre secours. Hébreux  4. 16 dit : « Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins. »
Ma petite fille passait par une grande épreuve de dépression. Je devais la soutenir, et en même temps accomplir le ministère. Mais avec Dieu, nous pouvons expérimenter le soutien dont nous avons besoin et nous étonner de son immense grâce !


                                                                                  Sergine Snanoudj

mercredi 1 octobre 2014

MESSAGE DE SERGINE SNANOUDJ - Avant propos


« C'est dans le calme et la confiance que sera votre force. » (Esaïe 30. 15)


Chers amis,

Je ne savais pas qu’André et moi allions passer par une longue épreuve de la maladie. Après une opération à cœur ouvert, en 2001, André se rétablit, et nous pouvions encore voyager pour porter l’évangile. Nous rentrions de Vichy où nous avions enregistré de nouvelles émissions pour la TV, en 2005. André s’aperçut, au volant de la voiture, que sa vue baissait. Ce fut une lourde épreuve, qui, graduellement, s’intensifia. Il peut encore lire quelques passages des Ecritures. Grâce à une excellente mémoire, il peut retracer et se remémorer plusieurs scènes bibliques, ce qui l’enrichit énormément.
A cette épreuve, s’ajouta brusquement la venue de tremblements, identifiant la maladie de « Parkinson ». Là, commença le grand et épuisant combat de sa vie, de notre vie. Pourquoi ? Seuls ceux qui sont atteints de ces symptômes comprendront. Combat de l’endurance, du courage, mais aussi de la vie tout court !
De toutes nos forces, nous nous sommes opposés à cette épreuve. Nous avons dû céder à la souffrance et rentrer dans le processus des médicaments qui ne soulagent que très partiellement. Bref, j’ai vu peu à peu mon bien-aimé diminuer, diminuer… Et c’est là que nous avons commencé à grandir. « Il faut qu’il croisse et que je diminue. » (Jean 3. 30). Ceux qui sont victimes de cette maladie ou infirmité me comprendront. Celui ou celle qui accompagne le malade nécessite une aide psychologique. Je ne l’ai reçue que du Seigneur, jour après jour, en m’appuyant sur sa parole. En acceptant l’épreuve, mais non la maladie, nous croyons aujourd’hui en une totale restauration.
C’est donc au cours de ces nouvelles paroles journalières, que je partagerai avec vous : la toute-puissance du Seigneur dans l’épreuve, sa présence continuelle, celle des anges, ses paroles… Une préparation récurrente pour l’entrée dans le royaume.
Je sais que cette préparation est celle de notre âme… Aimons-nous encore le Seigneur dans l’épreuve comme nous l’avons aimé dans l’abondance ?
Toutes les parties de notre cœur lui appartiennent-elles ? « Pierre, m’aimes-tu ? » La question de Jésus est posée à trois reprises. « Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime, » et pourtant, Pierre le renia trois fois, avant que le coq n’eût chanté. (Jean 21. 15-17).
Je puis dire que le Seigneur a été fidèle nuit et jour, que son amour pour nous tout comme notre amour pour lui m’a sauvé d’une épreuve destructrice. Mais, au contraire, aujourd’hui, après avoir accompli, ce 10 juillet, mes 80 ans, je suis plus que jamais l’épouse de l’Epoux, je l’aime, je veux le servir jusqu’au bout de mon voyage ici-bas. Il me prépare à voir sa gloire… ce grand Réveil, le dernier, que nous attendons avec impatience.

                                                                                                        
La fidélité de Dieu

« Je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. » (Matthieu 28. 20).
Je reçus cette parole en 2000, pour la nouvelle année. Je ne savais pas qu’elle serait un appui jusqu’à ce jour. La Parole de Dieu est ferme, invariable : elle ne change pas, quel que soit notre âge, quelles que soient les circonstances de la vie.
L’important est de la croire, de la confesser, de la vivre, sans se laisser envahir par le doute.
« La foi, c’est une ferme assurance des choses qu'on espère. » (Hébreux 11. 1). Dans la foi, pas de place pour le doute. Mais « la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Dieu. » (Romains 10. 17).
Je peux étayer ma foi en priant, en lisant la parole de Dieu, en jeûnant un repas, ou plusieurs… Dans l’épreuve, je me fortifie.
« C'est dans le calme et la confiance que sera votre force. » (Esaïe 30. 15)
Commencez votre journée par la lecture de la parole, la prière ; et partez en vainqueur sur vos émotions, votre situation.

                                                                                  Sergine Snanoudj